L'aigre du métal

Graver, c’est prendre son temps.

L’aigre du métal…

J’attaque…je le griffe, je me confronte à sa dureté.

Ressentir puis réfléchir.

J’éprouve des formes multiples, des corps, des oppositions d’ombre et de lumière.

Je travaille les rapports de masse (vides et pleins) pour arriver à composer une histoire : Mon histoire.

Les corps et les graines apparaissent évoluant dans des paysages imaginaires qu’ils viennent habiter.

Donner une âme à mes plaques, un mouvement…

Ces recherches d’oppositions indissociables sont finalement complémentaires et portent en elles l’idée d’unité.

Donner Ma réponse.

Poursuivre le voyage.

 

Anne-Christine Tcheuffa-Marcou (2010)

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